Viens, je t'emmène faire un tour, c'est la tournée des grandes dupes dans ce monde en déliquescence, en panne des sens, en panne de velours, comme ton triangle de panne en velours de simili-plastique...paraît que c'est fantastique...et ensuite je te paye un coup...pas celui que l'on prend à la terrasse des cafés, mais celui que l'on tire à la dérobée, à la dérobade, dans les afters des back doors, quand tu fais doucement glisser ma lingerie Aubade après que j'aie cédé à ta sérénade...
...ou bien encore, profitant de l'entrebâillement furtif des portes cochères, quand tu cingles ma croupe de tes coups de cravache ou de la pointe de ton fouet, avant de calmer mes rougeurs, mais pas mes ardeurs, de la pointe de ta langue ou de celle de ta plume...alors fouette, cochère !
© Les Contes Oniriques, 2016
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